Un roman qui a connu un immense succès, auprès du public comme auprès de la critique. Un roman très court, mais très fort, plein de poésie et lourd de sens.
Une critique acide mais prévisible du monde de la pub, qui stigmatise du même coup l'absurdité du monde contemporain, dans lequel le narrateur/auteur se sent aussi puissant qu'inutile...
Ensemble, c'est tout : des personnages attachants, un récit un peu facile, et une proportion de pathos pas toujours bien dosée. La sauce prend malgré tout.
Bien moins agréable que son prédécesseur dans la même collection, ce recueil de contes se lit assez péniblement. A prendre en petites doses et à réserver aux plus jeunes.
Très loin d'être un incontournable, ce roman se laisse lire. Ni incisif ni corrosif, il s'agit d'un roman sans plus qui a été porté par un buzz pas vraiment mérité.
Plus que tout le reste, c'est le talent de David Mitchell pour la narration que l'on retiendra - un talent devant lequel on ne peut que béer d'admiration.
Les abracadabrantes aventures d'une ado explosive et déjantée. Drôle et drôlement bien vu.
Une balle dans la tête démontre la capacité de Dan Simmons à s'imposer en tant que grand facteur de polars noirs. Merci l'ami.
Glen Cook se lancerait-il dans le one shot ? Les cycles lui conviennent mieux.
Un livre antipathique, qui dégage une aura d'antipathie, et met en scène des personnages antipathiques.
Un inventaire de mots-valises et de néologismes, distrayant mais trop hétéroclite pour être cohérent...
Très actuel, ce roman de Tim Lott est de ceux que l'on dévore avec autant d'assiduité que de dégoût... Impitoyable et dérangeant.
Agréable mais pas indispensable. Le dernier Bordage, tout en étant une lecture sympathique, est empreint d'une certaine naiveté parfois trop envahissante.
Petit par la taille mais grand par l'esprit. Yveline Méhat détourne dans ce livre les codes du conte pour notre plus grand bonheur. Indispensable pour les adultes comme pour les enfants