Moi en pyjamarama

/ Moi en pyjamarama (voir la critique Krinein)

Après la grande ville, New York, le parc d'attraction, Lunaparc, on se rapproche du personnage et de l'infiniment petit, le corps humain. Une histoire à parcourir toujours en pyjama pour des nuits animées.

Un enfant rejoint son lit et s'aventure cette fois-ci dans son corps : les lumières scintillent sous les paupières, à l'intérieur de sa tête il perçoit des fourmillements. Il imagine des circulations, la pompe de son coeur, écoute sa respiration : la mécanique est merveilleuse ! Après New York ou Lunaparc, le corps est franchement la plus belle des attractions.
Quand les rouages se grippent, c'est le frisson, la chaleur et notre petit héros franchit la grille de son pyjama, son corps lui échappe : le rêve devient fiévreux !
Sur le plan vertical, une histoire illustrée par Frédérique Bertrand répond aux images horizontales et «tactiles de Michaël Leblond : des graphismes qui s'animent avec magie au simple passage d'un rhodoïde rayé.